[Français-Español] GUSTAVO AGUILERA: “PONEMOS EL CORAZÓN EN CADA BARRIO, CON LA CONVICCIÓN DE HACER UN APORTE POR UNA ARGENTINA QUE TENGA FUTURO”
| Gustavo Aguilera: « Nous avons mis le coeur dans chaque district, avec la conviction d'apporter une contribution par l'Argentine qui a un avenir » Gustavo Aguilera: « Nous avons mis le coeur dans chaque district, avec la conviction d'apporter une contribution par l'Argentine qui a un avenir » Sous-secrétaire des soins intensifs a décrit les domaines de travail de gestion, comment l'aide articulée sur le territoire et quelle stratégie va se dérouler lorsque les extrémités en cas de pandémie. Mardi 11 Août, 2,02 mille 1- Quel est le travail accompli par le sous-secrétaire qui dirige? -Dans le cadre du Secrétariat conjoint de la politique sociale, le sous-secrétaire des soins intensifs travaille sur trois domaines spécifiques: l'alimentation et les soins de santé et les conditions météorologiques d'urgence. l'aide alimentaire est un produit central de la crise économique qui a généré cette pandémie. Aujourd'hui, beaucoup de gens ont besoin d'aide de l'État, et qui est la raison pour laquelle nous travaillons pour que chaque famille a à la maison une assiette de nourriture. Cette assistance se fait par l'achat de nourriture pour les églises, les organisations sociales et de la société civile, pour aider les familles. Nous avons également mis en œuvre une politique de fonds renouvelables pour les municipalités les plus touchées par la crise, aussi bien dans les banlieues et comme à l'intérieur du pays, afin qu'ils aient un soutien financier et en fourniture de tour les produits de nettoyage et d'hygiène. En ce qui concerne les soins de santé, nous travaillons pour les gens qui ont pas de travail social, et ils ont besoin de médicaments très complexes ou de médicaments chroniques, l'État peut garantir. A plusieurs reprises, il vient à des situations mortelles ou d'extrême urgence. La situation d'urgence météorologique, nous servons des situations particulières, d'une tornade comme il est arrivé il y a quelques jours à Misiones au problème qui génère la neige en Patagonie. Dans ce dernier cas, nous avons assisté à des familles avec des subventions accordées par les municipalités afin que les gens peuvent acheter du bois de chauffage et des vêtements chauds. Nous avons également participé à « L'hiver Opération », qui fournit, des couvertures, des vêtements et des poêles électriques aux personnes vivant dans des quartiers vulnérables. 2- Dans cette pandémie de contexte, comment se développe la gestion? « Cette pandémie a généré cette sous-secrétariat, ce qui est essentiel, une gestion active et intensive de répondre immédiatement. Nous sommes à l'avant de ces crises et nous sommes en contact permanent avec les gens parce que nous savons que notre rôle est fondamental. Nous avons beaucoup de la capacité de gestion de rechercher l'efficacité des procédures, mais surtout nous avons une sensibilité pour aider les personnes dans le besoin, plusieurs fois où la situation nous oblige à travailler pratiquement autour de l'horloge. Je tiens à souligner l'engagement et le dévouement de toute notre équipe de personnes, qui est formé de camionneurs, qui travaillent dans les entrepôts, les travailleurs sociaux, les secrétaires, les gestionnaires et les administrateurs. 3- Comment est le lien avec les gens, et par les individus sous-secrétaire comment est articulé l'aide, les organisations et les communautés? Nous avons plus de style que le territoire de bureau. Il est essentiel d'articuler, capable de parler avec chacun des acteurs impliqués dans ce processus, les prêtres des bidonvilles, les organisations et les maires, mais surtout avec les gens. De la sous-secrétariat articuler de façon permanente avec les municipalités et les organisations, entre autres acteurs, mais vous ne pouvez pas attendre le contact permanent avec l'activiste social qui fait le pot populaire ou catéchiste fournir une couverture pour quelqu'un ne se refroidisse pas, notre principale préoccupation en plus remplir notre rôle est d'être là, être présent. 4- Qu'est-ce qu'ils se sont retrouvés dans les quartiers vulnérables depuis le début de la gestion et quelle est la stratégie de pandémie après? -La pauvreté et les inégalités en cas de pandémie cristallisés approfondissent un point. Et bien dans les quartiers pauvres, ce qui est la zone où il y a plus d'inégalités, plus la pauvreté, il est où ce virus se déplace plus à l'aise. L'objectif commun est la lutte contre la pauvreté et l'inégalité. Pour cela, nous avons besoin de créer des emplois et la consommation intérieure et nous travaillons avec le programme Empower travail, ce qui permettra de générer 300 mille emplois avant la fin de l'année, ce qui déclenche la consommation intérieure dans les quartiers. Et l'autre grand défi de la démocratie est d'urbaniser les bidonvilles et les quartiers, et nous travaillons aussi sur un projet pour le logement d'urgence dans de nombreux quartiers. 5- Comment évaluez-vous ces mois de travail, en dépit de la dure réalité générée par la pandémie? Plus que la satisfaction personnelle est collective, il est tout ce que nous faisons partie d'une équipe très jeune qui milite, dans mon cas de 14 ans, toujours à la poursuite de la justice, l'égalité, et ce que je ressens nous vivons un moment historique et que nous avions le défi d'être dans ce lieu avant la pandémie. Nous pensons que nous sommes dans un endroit où nous pouvons aider, nous pouvons fournir et que chaque peu perceptible bits. Nous avons mis le coeur dans chaque district, avec la conviction d'apporter une contribution par l'Argentine qui a un avenir. " Nous avons beaucoup de la capacité de gestion de rechercher l'efficacité des procédures, mais surtout nous avons une sensibilité pour aider les personnes dans le besoin, plusieurs fois où la situation nous oblige à travailler pratiquement autour de l'horloge. " Gustavo Aguilera | Gustavo Aguilera: "Ponemos el corazón en cada barrio, con la convicción de hacer un aporte por una Argentina que tenga futuro" Gustavo Aguilera: "Ponemos el corazón en cada barrio, con la convicción de hacer un aporte por una Argentina que tenga futuro" El subsecretario de Asistencia Crítica enumeró los ejes de trabajo de la gestión, cómo articulan la asistencia en el territorio y qué estrategia van a desplegar cuando finalice la pandemia. martes 11 de agosto de 2020 1- ¿Cuál es el trabajo que realiza la subsecretaría que dirige? -En el marco de la Secretaría de Articulación de Política Social, la Subsecretaría de Asistencia Crítica trabaja sobre tres ejes específicos: asistencia alimentaria y sanitaria y emergencia meteorológica. La asistencia alimentaria es un tema central producto de la crisis económica que generó esta pandemia. Hoy muchas personas necesitan la ayuda del Estado, y es por ello que estamos trabajando para que cada familia tenga en su casa un plato de comida. Esta asistencia se lleva adelante a través de la compra de alimentos para que las iglesias, las organizaciones sociales y de la sociedad civil, puedan asistir a las familias. También implementamos una política de fondos rotatorios para los municipios más afectados por la crisis, tanto en el conurbano y como en el interior del país, para que cuenten con una ayuda económica y a su vez les suministramos productos de limpieza e higiene. Con respecto a la asistencia sanitaria, trabajamos para que las personas, que no tienen obra social, y que necesitan medicación de alta complejidad o un medicamento crónico, el Estado se lo pueda garantizar. En varias oportunidades se trata de situaciones de riesgo de vida o extrema urgencia. En la emergencia meteorológica, atendemos situaciones puntuales, desde un tornado como sucedió hace pocos días en Misiones hasta el problema que genera la nieve en la Patagonia. En este último caso, hemos asistido a las familias con subsidios que se otorgan a través de los municipios para que la gente pueda comprar leña y ropa de abrigo. También participamos del "Operativo Invierno", que entrega, frazadas, abrigo y estufas eléctricas a las personas que viven en barrios vulnerables. 2- ¿En este contexto de pandemia, cómo se desarrolla la gestión? -Esta pandemia ha generado que esta subsecretaría, que es esencial, tenga una gestión activa e intensa para dar respuesta de forma inmediata. Nos ponemos al frente de estas crisis y estamos en contacto permanente con la gente porque sabemos que nuestro rol es fundamental. Tenemos mucha capacidad de gestión para buscar la eficacia en los procedimientos, pero sobre todo contamos con sensibilidad para asistir a las personas que lo necesitan, donde en muchas oportunidades la situación nos obliga a trabajar prácticamente contra reloj. Quiero destacar el compromiso y la dedicación de todo nuestro equipo de gente, que se conforma desde camioneros, los que trabajan en los depósitos, trabajadoras sociales, secretarias, directoras y directores. 3- ¿Cómo es el vínculo con la gente, y a través de la subsecretaría cómo se articula la asistencia a las personas, organizaciones y comunidades? -Tenemos un estilo más de territorio que de escritorio. Es fundamental articular, poder hablar con cada uno de los actores que forman parte en este proceso, los curas villeros, las organizaciones, y los intendentes, pero fundamentalmente con la gente. Desde la Subsecretaría permanentemente articulamos con municipios y organizaciones, entre otros actores, pero lo que no puede esperar es el contacto permanente con el militante social que está haciendo la olla popular o al catequista que entrega una frazada para que alguien no pase frío, nuestra principal preocupación además de cumplir con nuestro rol, es estar ahí, estar presente. 4- ¿Con qué se encontraron en los barrios vulnerables desde el comienzo de la gestión y cuál es la estrategia para la post pandemia? -La pandemia cristalizó la pobreza y en algún punto profundizó la desigualdad. Y claramente en los barrios populares, que es la zona donde hay más desigualdad, más pobreza, es donde se mueve más cómodo este virus. El objetivo común es la lucha contra la pobreza y la desigualdad. Para eso, tenemos que generar trabajo y consumo interno y ya estamos trabajando con el programa Potenciar Trabajo, que va a permitir generar 300 mil puestos de trabajo antes de fin de año, activando el consumo interno en los barrios. Y el otro gran desafío de la democracia es urbanizar las villas y los asentamientos, y también estamos trabajando en un proyecto de emergencia habitacional de muchos barrios. 5- ¿Cómo evalúa estos meses de trabajo, a pesar de la cruda realidad que genera la pandemia? La satisfacción más que personal es colectiva, tiene que ver con que somos parte de un equipo con el cual militamos desde muy jóvenes, en mi caso desde los 14 años, siempre en la búsqueda de la justicia, de la igualdad, y lo que siento es que estamos viviendo un momento histórico y que nos tocó el desafío de estar en este lugar ante la pandemia. Sentimos que estamos en un lugar en el cual podemos ayudar, podemos aportar y que cada granito de arena se nota. Ponemos el corazón en cada barrio, con la convicción de hacer un aporte por una Argentina que tenga futuro. " Tenemos mucha capacidad de gestión para buscar la eficacia en los procedimientos, pero sobre todo contamos con sensibilidad para asistir a las personas que lo necesitan, donde en muchas oportunidades la situación nos obliga a trabajar prácticamente contra reloj. " Gustavo Aguilera |